La Solitude du Dirigeant : Personne ne te comprend (et c’est OK)
La solitude du CEO n’est pas un mythe. C’est une réalité stratégique qu’il faut apprendre à gérer.
La communauté Flow, c’est aujourd’hui +11K lecteurs qui veulent bosser moins, mais mieux.
😶🌫️ Le CEO, ce héros invisible
Personne ne t’a préparé à ça.
Pas à devoir annoncer une mauvaise nouvelle à ton équipe le matin, pitcher à des investisseurs à midi, calmer un client furieux à 16h… et rentrer chez toi le soir sans personne à qui raconter la journée.
Tu es censé tenir bon. Être solide. Inspirer.
Mais souvent, la nuit, tu scrolles LinkedIn avec une boule au ventre, en te disant :
“Putain, je suis seul.”
Et tu l’es, en partie.
Mais cette solitude n’est pas un bug. C’est une donnée structurelle. Et elle peut devenir un levier de clarté, si tu apprends à la comprendre.
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Disclaimer anti-mytho
« Je ne suis ni influenceur, ni coach du dimanche. Tout ce que je raconte ici, je l’ai vécu, testé, foiré, puis réussi. Zéro bullshit, 100 % réel. »
Voici les 3 vérités sur le sujet qu’on ne t’as jamais dites.
1. Tes doutes sont sains. Mais pas partageables partout.
Un dirigeant sans doutes est un danger public.
Mais un dirigeant qui expose ses doutes au mauvais endroit devient un facteur de risque.
👉 Ta team a besoin de stabilité, pas de thérapie.
👉 Ton foyer est un refuge, pas un comité stratégique.
👉 Tes associés sont utiles, mais rarement neutres.
🛠 Solution terrain : Crée une zone neutre. Un espace où tu peux vider sans filtre. Pour moi, c’est mon coach. Et ça change tout.
2. Ton isolement t'affaiblit... ou te rend plus fort.
La solitude est une lame à double tranchant.
Tu peux t’y noyer, ou l’utiliser comme un outil de lucidité radicale.
C’est dans cette solitude que tu prends les décisions les plus alignées.
Mais à condition d’être soutenu. Sinon, elle t’épuise.
🛠 Move Flow : Entoure-toi de regards extérieurs qualifiés. Pas de yes-men. Pas de LinkedIn warriors. Des gens qui comprennent ton rôle parce qu’ils le vivent ou l’ont vécu.
3. T’es pas supposé tenir tout seul
Il y a un mythe glorifié du CEO stoïque, invincible.
C’est une connerie. Une recette pour le burn-out.
Même les plus grands sont entourés.
👉 J’ai un coach. Et je considère que 100 % des CEO devraient en avoir un.
Pas pour être “meilleur” — pour rester sain.
Pas pour “scaler” — pour ne pas s’effondrer.
🛠 Proposition directe : Si tu lis ça et que tu te reconnais, je peux t’aider à créer ton espace de coaching stratégique. Tu n’as pas à tenir tout seul.
Ce que tu vis est dur, mais normal.
Tu n’es pas faible. Tu es exposé. Et ton job, ce n'’est pas d’être parfait — c’est de tenir le cap avec lucidité.
Et parfois, tenir le cap, ça commence par ne pas le faire seul.
Comment font les meilleurs CEO sur le sujet ?
🧑💼 Ben Horowitz CEO de A16Z - (58 ans - 5,6 milliards $ - 789 salariés)
Dans son ouvrage The Hard Thing About Hard Things, Ben Horowitz partage avec une grande honnêteté les défis psychologiques auxquels un CEO est confronté, notamment la solitude, le doute et la pression constante. Il souligne l'importance cruciale de disposer d'un espace sûr pour exprimer ses incertitudes, généralement en dehors de l'entreprise, afin de préserver la confiance de l'équipe.
👩💼 Maureen Chiquet – Ex-CEO de Chanel (62 ans – 6,2 milliards $ – 20 000 salariés)
Dans son livre Beyond the Label, Maureen Chiquet explore les tensions entre identité personnelle et attentes professionnelles. Elle y aborde la difficulté de concilier intuition, vulnérabilité et leadership dans un monde d’affaires souvent rigide. Elle insiste sur l’importance de rester fidèle à soi-même, même au sommet d’une maison de luxe comme Chanel.
🧑💼 Satya Nadella – CEO de Microsoft (58 ans 221 000 salariés)
Dans son livre Hit Refresh, Satya Nadella revient sur son parcours personnel et professionnel, notamment les défis rencontrés en tant que PDG de Microsoft. Nadella partage des réflexions personnelles sur l'importance de la vulnérabilité et de l'écoute active dans le leadership, soulignant que ces qualités ont été essentielles pour surmonter les moments difficiles et guider Microsoft vers une nouvelle ère de croissance
🇫🇷🆚🇺🇸 Pourquoi les entrepreneurs français ont (encore) peur du coaching
En France, on confond encore coaching avec thérapie pour patrons en crise.
Et avouons-le : se faire coacher, pour beaucoup, c’est reconnaître qu’on n’est pas au top. Qu’on doute. Qu’on fatigue.
Or, notre culture business est encore imprégnée de ce mythe :
Un bon CEO, c’est un homme (ou une femme) qui gère, qui encaisse, qui ne se plaint pas.
Résultat ?
On attend le burn-out ou la levée foirée pour chercher de l’aide.
Alors qu’aux US, un CEO qui n’a pas de coach… c’est louche. C’est un amateur.
🔥 Aux US, le coaching est une norme stratégique
Eric Schmidt (ex-CEO de Google) : “Every CEO should have a coach.”
Marc Benioff (Salesforce) : a toujours été coaché. Idem pour les fondateurs de Stripe, Netflix, Meta…
Dan Martell, Dan Sullivan, Cameron Herold… tous ont bâti leur croissance sur des modèles où le coaching est intégré au pilotage de l’entreprise.
Le coaching là-bas, ce n’est ni du luxe, ni de la rustine.
C’est un levier de lucidité, de performance et de longévité.
💡 Pourquoi je peux t’aider (et pourquoi Flow, c’est différent)
J’accompagne chaque semaine des CEO comme toi — ambitieux, sous pression, lucides. Mais je ne suis pas coach de métier. Je suis CEO, investisseur, builder — dans le feu comme toi.
✅ Je pilote plusieurs boîtes, donc je vis les vraies contraintes du terrain
✅ Je combine les casquettes : stratège, opérationnel, sparring-partner
✅ Je monte des business agiles depuis 20 ans. Peu de sujets me surprennent.
Pas de posture. Pas de jargon. Rien que du concret.
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